Hello ! On se retrouve pour la deuxième review de ce mois de février (faites comme si c'était vrai :)) ! Aujourd'hui, je vais vous présenter le deuxième livre de Coleen Hoover que j'ai lue, j'ai hâte de vous le faire découvrir !
TW : petit avertissement pour les plus jeunes ce livre contient quelque scène de s*xe, il serait sonc mieux de passer ton chemins :) !
INFOS :
titre : Ugly Love
nombres de pages : 376
type : romance, compliqué, sensuel
lu le : 09/02 au 13/02
RÉSUMÉ (babelio) :
Quand Tate Collins rencontre Miles Archer, elle sait que ce n'est pas le coup de foudre. Et pour cause, le beau pilote n'a de temps que pour les aventures sans lendemain. Ils ne peuvent pourtant pas nier leur attraction mutuelle, aussi immédiate que brûlante. Alors pourquoi ne pas se laisser séduire, quand le sexe est si bon ? Pas d'attaches, simplement la passion... Leur arrangement semble parfait, tant que Tate accepte de respecter les deux règles de Miles : Pas de question sur le passé, Ne pas espérer de futur. Cependant, ils vont vite comprendre que le cœur ne suit pas d'autres règles que les siennes. L'amour, même quand il n'est pas une évidence, sera-t-il plus fort que leurs promesses ?
MA NOTE : 3,75/5
MON AVIS :
J'avais beaucoup d'attentes pour ce 2ème livre de Coleen Hoover, j'ai malheureusement été déçu, je m'attendais à plus d'émotions bien que la "règle" de ce livre soit : "Ne pas parler du passé, ne rien espérer du futur". Si je regroupe tout le livre, je dirais que leur histoire est mignonne. Ce qui a sauvé ce livre est sûrement le plot twist de la fin et le personnage de Capt'aine pour qui je me suis prise d'affection. Enfin, les flash-back de Miles dans lesquels on découvre pourquoi son comportement envers Tate est distant, sont les moments que j'ai préférée, c'était plus touchant et vivant.
Bien sur, j'ai trouvé Tate toute mimi avec Miles tandis que lui faisait tout pour la repousser, elle a persisté et fait tout pour le rendre plus avenant envers elle ce qui l'un de ses points fort que j'ai beaucoup apprécié !
En conclusion, c'était un peu que du c*l pour une fin prévisible...
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